Dès lors qu’une entreprise souhaite publier les caractéristiques de ses produits à partir du Web (à l’instar de celles stockées dans un logiciel de gestion de données ou sur un site de commerce en ligne) dans un document prêt à imprimer ou un fichier PDF, certaines difficultés apparaissent et il convient d’être très attentif.ve à ce sujet. En effet, les documents prêts à imprimer et les fichiers PDF obéissent à des règles spécifiques liées à la longue évolution des secteurs d’activités que sont à la fois la conception d’impression et la typographie, dans le domaine de l’utilisation de la mise en page, des grilles, des polices de caractères, des fonds perdus et des lignes-blocs, des espaces chromatiques européens CMJN, etc… Toute imprécision, si minime soit-elle, pour l’obtention du document final est susceptible de donner un résultat laissant à désirer. Sur le papier, de tels défauts attirent l’œil, mais malheureusement pas dans le bon sens.
Pour toutes les raisons invoquées plus haut, les exigences relatives à un document destiné à son impression sur papier sont plus élevées que celles concernant un document devant être publié sur le Web, mais le rythme rapide de l’évolution de l’édition numérique dicte désormais également les cycles de l’industrie de l’impression.
Les solutions informatiques du même ordre que Salesforce disposent d’un « moteur d’exportation au format PDF», mais dans la plupart des cas, les résultats ne sont pas au rendez-vous, et si une entreprise souhaite améliorer et intégrer la logique du code HTML à un moteur PDF, la tâche s’avère plutôt ardue. Parfois, les résultats souhaités (ceux attendus du support d’impression) sont inaccessibles.
Le seul moyen de garantir la qualité d’une opération d’exportation d’un document typographique est de le faire passer par le logiciel InDesign. C’est à proprement parler le service que nous vous proposons chez Pagination.